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photo avec un arbre à gauche et des balances à droite

La planète s’essouffle. Et face à cette urgence environnementale, les entreprises, longtemps spectatrices, doivent agir. C’est dans ce contexte que deux principaux concepts émergent : la Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) et l’économie circulaire. Si la première engage les organisations à intégrer les enjeux environnementaux dans leur stratégie, la seconde propose une approche pratique et concrète pour sortir du modèle linéaire « extraire, produire, jeter ». Comment ces deux approches interagissent-elles ? Peuvent-elles dessiner une feuille de route vers une économie plus positive ? Et surtout, comment les entreprises peuvent-elles s’en saisir pour répondre aux défis de notre époque ? Zoom sur le lien entre RSE et économie circulaire !

RSE et économie circulaire, deux piliers complémentaires

Définitions et principes clés

La Commission Européenne définit la Responsabilité Sociétale des Entreprises comme « l’intégration volontaire par les entreprises des préoccupations en matière sociale, environnementale, éthique, des droits de l’Homme et des consommateurs dans leurs activités commerciales et leur stratégie de base ». La RSE invite donc les entreprises à intégrer les critères sociaux et environnementaux dans leur cœur d’activité. L’économie circulaire propose, quant à elle, une alternative au modèle linéaire traditionnel avec la stratégie des 5R : Refuser, Réduire, Réutiliser, Recycler et Rendre à la Terre Ces deux approches sociales et environnementales, loin d’être indépendantes, sont profondément interconnectées. L’une pose une vision stratégique, là où l’autre active des outils opérationnels.

Convergences et synergies

RSE et économie circulaire partagent de nombreux points communs : 

  1. Durabilité : Responsabilité Sociétale des Entreprises et économie circulaire partagent des objectifs de développement durable. En effet, elles encouragent chaque société à repenser son impact sur l’environnement. Cette approche contribue à la préservation des écosystèmes et à la lutte contre le changement climatique.
  2. Gestion plus responsable des ressources naturelles : Réduire la consommation de matières premières, limiter les émissions de gaz à effet de serre, lutter contre l’épuisement des ressources… Des leviers communs pour œuvrer concrètement en faveur d’un modèle durable.
  3. Innovation et adaptation : La transition vers un modèle plus responsable exige créativité et agilité. En effet, ces démarches offrent une opportunité unique de créer de nouveaux modèles d’affaires fondés sur la réutilisation, l’éthique et la création de valeur sociale.

La RSE fournit donc un cadre stratégique et opérationnel qui facilite la mise en œuvre de l’économie circulaire. Elle en fixe les objectifs, mobilise les parties prenantes et structure la démarche. Inversement, l’économie circulaire donne un contenu concret et mesurable à la politique RSE. Ensemble, elles se renforcent, créant une approche globale et durable pour les entreprises.

Cadre réglementaire et incitations

Loi AGEC

Adoptée en février 2020, la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire (AGEC) marque un tournant dans notre manière de produire, consommer et gérer les ressources. Et ce, via cinq grands axes : sortir du plastique jetable, mieux informer les consommateurs, lutter contre le gaspillage et pour le réemploi solidaire, agir contre l’obsolescence programmée et mieux produire.

Loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte (TEPCV)

La loi TEPCV, promulguée en 2015, inscrit l’économie circulaire dans une vision plus large de transition énergétique et écologique. Elle fixe notamment des objectifs ambitieux en matière de réduction des déchets, de valorisation matière et de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Elle encourage aussi les collectivités locales et les entreprises à innover pour limiter leur empreinte environnementale, à travers des plans d’action concrets et des dispositifs d’accompagnement.

Pacte vert européen

Au niveau européen, l’European Green Deal (Pacte vert pour l’Europe) propose un ensemble d’initiatives pour une économie climatiquement neutre en 2050. Ce plan inclut la mise en place d’un mécanisme d’ajustement carbone aux frontières, visant à taxer les produits importés en fonction de leur empreinte carbone afin d’éviter les déséquilibres concurrentiels. Il comprend également un plan d’action pour l’économie circulaire, avec plus de trente points d’action concernant la conception de produits durables, la circularité dans les processus de production et le fait de donner aux consommateurs et aux acheteurs publics les moyens de choisir.

Normes ISO pour structurer les démarches

Les normes ISO encadrent ces notions de RSE et d’économie circulaire. Les normes ISO 26000 établissent, par exemple, les principes et lignes directrices en matière de responsabilité sociétale des entreprises (RSE). Elles guident notamment les organisations dans l’intégration de pratiques socialement responsables. Et ce, en proposant une méthode de mise en œuvre et d’appropriation de la RSE. Les normes ISO 59000 regroupent, quant à elles, un ensemble de standards pour l’économie circulaire des entreprises. Elles aident ainsi les structures à optimiser leur consommation énergétique, à identifier les sources d’économies potentielles et à mettre en place des stratégies durables pour réduire leur empreinte énergétique. 

Incitations économiques et soutiens publics

Pour accompagner cette transition, de nombreux dispositifs existent : subventions, appels à projets, aides à l’investissement, fiscalité verte… L’ADEME (Agence de la transition écologique), par exemple, finance des diagnostics d’écoconception ou de circularité, ainsi que des projets de réemploi ou de recyclage innovants.

Bénéfices concrets pour les entreprises engagées

Réduction de l’impact environnemental

Intégrer l’économie circulaire à votre politique RSE permet de rompre avec le modèle économique linéaire fortement générateur de déchets. Pour cause, vous : 

  • Refusez ce dont vous n’avez pas besoin
  • Réduisez ce dont vous avez besoin
  • Réutilisez et réemployez ce que vous utilisez
  • Recyclez en dernier recours
  • Rendez à la Terre ce qui est compostable

Avec une plateforme de réemploi MyTroc Pro, c’est par exemple 141 029 tonnes de CO2 évitées.

Réduction des coûts et meilleure gestion des ressources

Recycler des matériaux, allonger la durée de vie des produits, optimiser les flux logistiques, valoriser les déchets en ressources… Autant de stratégies circulaires qui génèrent des économies directes. Les plateformes de réemploi MyTroc Pro ont ainsi permis d’économiser 40 266 588 € sur les coûts de fabrication. Par ailleurs, en réduisant leur dépendance aux matières premières vierges, les entreprises sécurisent leur approvisionnement et limitent les effets de la volatilité des prix. Résultat : une meilleure performance économique et une rentabilité accrue sur le long terme.

Amélioration de l’image de marque et de la réputation

Les consommateurs — et les talents — sont de plus en plus attentifs à l’engagement environnemental et sociétal des marques. Une stratégie RSE alignée sur les principes de l’économie circulaire améliore donc la crédibilité et la notoriété d’une entreprise. Elle renforce la confiance et la fidélité des clients, tout en attirant de nouveaux talents sensibles à ces enjeux.

Résilience face aux crises et à la pénurie des matières premières

La crise sanitaire, la flambée des coûts de l’énergie ou encore les tensions géopolitiques… Ces événements ont révélé la vulnérabilité des chaînes d’approvisionnement mondiales. Heureusement, les entreprises circulaires sont mieux armées pour y faire face. En diversifiant leurs sources de matériaux (recyclage, réemploi), en produisant localement ou en réduisant leur dépendance aux intrants critiques, elles gagnent en autonomie et en résilience.

Innovation et développement de nouveaux marchés

L’économie circulaire est, enfin, un formidable moteur d’innovation. Elle stimule la création de nouveaux modèles d’affaires (location, reconditionnement, économie de la fonctionnalité…), de nouveaux produits et services et favorise l’émergence de filières durables. Cette dynamique ouvre également des emplois dans des secteurs en croissance : recyclage, réparation, logistique inversée, écoconception, plateformes de mutualisation…

Stratégie d’intégration de l’économie circulaire dans votre démarche RSE

Analyse du cycle de vie et éco-conception

Un produit durable n’est pas seulement un produit éco-conçu. C’est aussi un produit facile à entretenir, à réparer et à valoriser en fin de vie. La première étape consiste donc à analyser le cycle de vie de vos produits ou services : matières premières, fabrication, réparabilité, usage, fin de vie…

Optimisation de la gestion des déchets

Réduire, trier, valoriser : la gestion des déchets devient stratégique. Grâce à une meilleure organisation logistique, et à l’usage de plateformes de réemploi comme MyTroc Pro, les entreprises peuvent transformer leurs déchets en ressources utiles.

Collaboration avec les parties prenantes

La circularité est une dynamique collective. Pour être efficace, elle doit mobiliser l’ensemble de l’écosystème : collaborateurs, clients, fournisseurs, partenaires territoriaux, collectivités… Instaurer un dialogue ouvert, coconstruire des solutions locales, encourager les circuits courts : tout cela renforce l’impact et la cohérence de votre stratégie RSE.

Formation et sensibilisation

La transition circulaire ne se décrète pas : elle se construit au quotidien, en impliquant les équipes. D’où l’importance de former, d’informer et de donner du sens. Développer une culture d’entreprise engagée, incarner un leadership responsable, reconnaître les efforts en interne… Autant de leviers pour ancrer durablement la démarche RSE.

Exemples d’entreprises ayant intégré l’économie circulaire à leur politique RSE

SNCF – La Boutique Éco

SNCF, acteur majeur du transport ferroviaire en France, a lancé La Boutique Éco, une plateforme interne consacrée au réemploi de matériel. Cette initiative permet aux différentes entités du groupe de donner une seconde vie aux équipements inutilisés, réduisant ainsi le gaspillage et optimisant les ressources internes.

Enedis – Réemploi

Enedis, gestionnaire du réseau public de distribution d’électricité, a développé une plateforme de réemploi sur mesure en partenariat avec MyTroc Pro. Cette solution, conforme aux exigences d’accessibilité et d’éco-conception, facilite le réemploi des équipements au sein de l’entreprise

Arts et Métiers – Troc aux Arts

L’École Nationale Supérieure d’Arts et Métiers (ENSAM) a mis en place Troc aux Arts, une plateforme collaborative favorisant l’échange de matériel entre ses différents campus. Cette initiative encourage le partage de ressources, réduit les achats inutiles et promeut une culture de durabilité au sein de l’institution.

RSE et économie circulaire, conclusion

En combinant vision stratégique (RSE) et action concrète (économie circulaire), les entreprises peuvent relever les défis environnementaux tout en créant de la valeur. En effet, ce duo permet de réduire l’empreinte écologique, d’optimiser les coûts, d’innover et de renforcer la confiance des parties prenantes. Grâce à la création de plateformes de réemploi sur mesure et à leur calculette carbone intégrée, MyTroc Pro vous aide à piloter votre transition. Vos rapports liés à la Responsabilité Sociétale des Entreprises sont boostés ! Engagez-vous dès maintenant pour une économie plus durable, circulaire et responsable. Contactez-nous pour parler de votre projet !

Échangeons pour changer le monde !

Contactez-nous

RSE et économie circulaire : un duo gagnant pour les entreprises ?

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La planète s’essouffle. Et face à cette urgence environnementale, les entreprises, longtemps spectatrices, doivent agir. C’est dans ce contexte que deux principaux concepts émergent : la Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) et l’économie circulaire. Si la première engage les organisations à intégrer les enjeux environnementaux dans leur stratégie, la seconde propose une approche pratique et concrète pour sortir du modèle linéaire « extraire, produire, jeter ». Comment ces deux approches interagissent-elles ? Peuvent-elles dessiner une feuille de route vers une économie plus positive ? Et surtout, comment les entreprises peuvent-elles s’en saisir pour répondre aux défis de notre époque ? Zoom sur le lien entre RSE et économie circulaire !

RSE et économie circulaire, deux piliers complémentaires

Définitions et principes clés

La Commission Européenne définit la Responsabilité Sociétale des Entreprises comme « l’intégration volontaire par les entreprises des préoccupations en matière sociale, environnementale, éthique, des droits de l’Homme et des consommateurs dans leurs activités commerciales et leur stratégie de base ». La RSE invite donc les entreprises à intégrer les critères sociaux et environnementaux dans leur cœur d’activité. L’économie circulaire propose, quant à elle, une alternative au modèle linéaire traditionnel avec la stratégie des 5R : Refuser, Réduire, Réutiliser, Recycler et Rendre à la Terre Ces deux approches sociales et environnementales, loin d’être indépendantes, sont profondément interconnectées. L’une pose une vision stratégique, là où l’autre active des outils opérationnels.

Convergences et synergies

RSE et économie circulaire partagent de nombreux points communs : 

  1. Durabilité : Responsabilité Sociétale des Entreprises et économie circulaire partagent des objectifs de développement durable. En effet, elles encouragent chaque société à repenser son impact sur l’environnement. Cette approche contribue à la préservation des écosystèmes et à la lutte contre le changement climatique.
  2. Gestion plus responsable des ressources naturelles : Réduire la consommation de matières premières, limiter les émissions de gaz à effet de serre, lutter contre l’épuisement des ressources… Des leviers communs pour œuvrer concrètement en faveur d’un modèle durable.
  3. Innovation et adaptation : La transition vers un modèle plus responsable exige créativité et agilité. En effet, ces démarches offrent une opportunité unique de créer de nouveaux modèles d’affaires fondés sur la réutilisation, l’éthique et la création de valeur sociale.

La RSE fournit donc un cadre stratégique et opérationnel qui facilite la mise en œuvre de l’économie circulaire. Elle en fixe les objectifs, mobilise les parties prenantes et structure la démarche. Inversement, l’économie circulaire donne un contenu concret et mesurable à la politique RSE. Ensemble, elles se renforcent, créant une approche globale et durable pour les entreprises.

Cadre réglementaire et incitations

Loi AGEC

Adoptée en février 2020, la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire (AGEC) marque un tournant dans notre manière de produire, consommer et gérer les ressources. Et ce, via cinq grands axes : sortir du plastique jetable, mieux informer les consommateurs, lutter contre le gaspillage et pour le réemploi solidaire, agir contre l’obsolescence programmée et mieux produire.

Loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte (TEPCV)

La loi TEPCV, promulguée en 2015, inscrit l’économie circulaire dans une vision plus large de transition énergétique et écologique. Elle fixe notamment des objectifs ambitieux en matière de réduction des déchets, de valorisation matière et de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Elle encourage aussi les collectivités locales et les entreprises à innover pour limiter leur empreinte environnementale, à travers des plans d’action concrets et des dispositifs d’accompagnement.

Pacte vert européen

Au niveau européen, l’European Green Deal (Pacte vert pour l’Europe) propose un ensemble d’initiatives pour une économie climatiquement neutre en 2050. Ce plan inclut la mise en place d’un mécanisme d’ajustement carbone aux frontières, visant à taxer les produits importés en fonction de leur empreinte carbone afin d’éviter les déséquilibres concurrentiels. Il comprend également un plan d’action pour l’économie circulaire, avec plus de trente points d’action concernant la conception de produits durables, la circularité dans les processus de production et le fait de donner aux consommateurs et aux acheteurs publics les moyens de choisir.

Normes ISO pour structurer les démarches

Les normes ISO encadrent ces notions de RSE et d’économie circulaire. Les normes ISO 26000 établissent, par exemple, les principes et lignes directrices en matière de responsabilité sociétale des entreprises (RSE). Elles guident notamment les organisations dans l’intégration de pratiques socialement responsables. Et ce, en proposant une méthode de mise en œuvre et d’appropriation de la RSE. Les normes ISO 59000 regroupent, quant à elles, un ensemble de standards pour l’économie circulaire des entreprises. Elles aident ainsi les structures à optimiser leur consommation énergétique, à identifier les sources d’économies potentielles et à mettre en place des stratégies durables pour réduire leur empreinte énergétique. 

Incitations économiques et soutiens publics

Pour accompagner cette transition, de nombreux dispositifs existent : subventions, appels à projets, aides à l’investissement, fiscalité verte… L’ADEME (Agence de la transition écologique), par exemple, finance des diagnostics d’écoconception ou de circularité, ainsi que des projets de réemploi ou de recyclage innovants.

Bénéfices concrets pour les entreprises engagées

Réduction de l’impact environnemental

Intégrer l’économie circulaire à votre politique RSE permet de rompre avec le modèle économique linéaire fortement générateur de déchets. Pour cause, vous : 

  • Refusez ce dont vous n’avez pas besoin
  • Réduisez ce dont vous avez besoin
  • Réutilisez et réemployez ce que vous utilisez
  • Recyclez en dernier recours
  • Rendez à la Terre ce qui est compostable

Avec une plateforme de réemploi MyTroc Pro, c’est par exemple 141 029 tonnes de CO2 évitées.

Réduction des coûts et meilleure gestion des ressources

Recycler des matériaux, allonger la durée de vie des produits, optimiser les flux logistiques, valoriser les déchets en ressources… Autant de stratégies circulaires qui génèrent des économies directes. Les plateformes de réemploi MyTroc Pro ont ainsi permis d’économiser 40 266 588 € sur les coûts de fabrication. Par ailleurs, en réduisant leur dépendance aux matières premières vierges, les entreprises sécurisent leur approvisionnement et limitent les effets de la volatilité des prix. Résultat : une meilleure performance économique et une rentabilité accrue sur le long terme.

Amélioration de l’image de marque et de la réputation

Les consommateurs — et les talents — sont de plus en plus attentifs à l’engagement environnemental et sociétal des marques. Une stratégie RSE alignée sur les principes de l’économie circulaire améliore donc la crédibilité et la notoriété d’une entreprise. Elle renforce la confiance et la fidélité des clients, tout en attirant de nouveaux talents sensibles à ces enjeux.

Résilience face aux crises et à la pénurie des matières premières

La crise sanitaire, la flambée des coûts de l’énergie ou encore les tensions géopolitiques… Ces événements ont révélé la vulnérabilité des chaînes d’approvisionnement mondiales. Heureusement, les entreprises circulaires sont mieux armées pour y faire face. En diversifiant leurs sources de matériaux (recyclage, réemploi), en produisant localement ou en réduisant leur dépendance aux intrants critiques, elles gagnent en autonomie et en résilience.

Innovation et développement de nouveaux marchés

L’économie circulaire est, enfin, un formidable moteur d’innovation. Elle stimule la création de nouveaux modèles d’affaires (location, reconditionnement, économie de la fonctionnalité…), de nouveaux produits et services et favorise l’émergence de filières durables. Cette dynamique ouvre également des emplois dans des secteurs en croissance : recyclage, réparation, logistique inversée, écoconception, plateformes de mutualisation…

Stratégie d’intégration de l’économie circulaire dans votre démarche RSE

Analyse du cycle de vie et éco-conception

Un produit durable n’est pas seulement un produit éco-conçu. C’est aussi un produit facile à entretenir, à réparer et à valoriser en fin de vie. La première étape consiste donc à analyser le cycle de vie de vos produits ou services : matières premières, fabrication, réparabilité, usage, fin de vie…

Optimisation de la gestion des déchets

Réduire, trier, valoriser : la gestion des déchets devient stratégique. Grâce à une meilleure organisation logistique, et à l’usage de plateformes de réemploi comme MyTroc Pro, les entreprises peuvent transformer leurs déchets en ressources utiles.

Collaboration avec les parties prenantes

La circularité est une dynamique collective. Pour être efficace, elle doit mobiliser l’ensemble de l’écosystème : collaborateurs, clients, fournisseurs, partenaires territoriaux, collectivités… Instaurer un dialogue ouvert, coconstruire des solutions locales, encourager les circuits courts : tout cela renforce l’impact et la cohérence de votre stratégie RSE.

Formation et sensibilisation

La transition circulaire ne se décrète pas : elle se construit au quotidien, en impliquant les équipes. D’où l’importance de former, d’informer et de donner du sens. Développer une culture d’entreprise engagée, incarner un leadership responsable, reconnaître les efforts en interne… Autant de leviers pour ancrer durablement la démarche RSE.

Exemples d’entreprises ayant intégré l’économie circulaire à leur politique RSE

SNCF – La Boutique Éco

SNCF, acteur majeur du transport ferroviaire en France, a lancé La Boutique Éco, une plateforme interne consacrée au réemploi de matériel. Cette initiative permet aux différentes entités du groupe de donner une seconde vie aux équipements inutilisés, réduisant ainsi le gaspillage et optimisant les ressources internes.

Enedis – Réemploi

Enedis, gestionnaire du réseau public de distribution d’électricité, a développé une plateforme de réemploi sur mesure en partenariat avec MyTroc Pro. Cette solution, conforme aux exigences d’accessibilité et d’éco-conception, facilite le réemploi des équipements au sein de l’entreprise

Arts et Métiers – Troc aux Arts

L’École Nationale Supérieure d’Arts et Métiers (ENSAM) a mis en place Troc aux Arts, une plateforme collaborative favorisant l’échange de matériel entre ses différents campus. Cette initiative encourage le partage de ressources, réduit les achats inutiles et promeut une culture de durabilité au sein de l’institution.

RSE et économie circulaire, conclusion

En combinant vision stratégique (RSE) et action concrète (économie circulaire), les entreprises peuvent relever les défis environnementaux tout en créant de la valeur. En effet, ce duo permet de réduire l’empreinte écologique, d’optimiser les coûts, d’innover et de renforcer la confiance des parties prenantes. Grâce à la création de plateformes de réemploi sur mesure et à leur calculette carbone intégrée, MyTroc Pro vous aide à piloter votre transition. Vos rapports liés à la Responsabilité Sociétale des Entreprises sont boostés ! Engagez-vous dès maintenant pour une économie plus durable, circulaire et responsable. Contactez-nous pour parler de votre projet !

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