Lutter contre le gaspillage : et si MyTroc Pro était la solution ?
Chaque année, des milliers d’entreprises, d’administrations et de collectivités jettent ou laissent dormir du matériel parfaitement fonctionnel, faute de solutions simples pour le réutiliser. Pendant ce temps, un autre service, parfois dans le même bâtiment, achète exactement le même équipement neuf. Résultat : des dépenses inutiles et un impact environnemental alourdi. Et si l’on arrêtait de jeter ce qui peut encore servir ? C’est le pari de MyTroc Pro, une plateforme de réemploi et de mutualisation pensée par et pour les professionnels. Pourquoi est-il urgent de lutter contre le gaspillage en entreprise ? Et quelles sont les bonnes pratiques à mettre en place dès aujourd’hui ? Zoom sur l’approche innovante de MyTroc Pro.
Pourquoi est-il crucial de lutter contre le gaspillage ?
Un coût environnemental lourd et évitable
Chaque bien produit consomme des ressources naturelles : matières premières, eau, énergie. Sans omettre les émissions de gaz à effet de serre nécessaires à leur fabrication et leur transport. Lorsqu’un mobilier de bureau, un équipement informatique ou une machine industrielle est jeté alors qu’il est encore fonctionnel, c’est tout ce processus de production qui est réduit à néant… pour rien.
Ce modèle de surconsommation génère également des déchets massifs, souvent difficiles à recycler, qui finissent incinérés ou enfouis. En France, les déchets d’équipements électriques et électroniques (DEEE) professionnels représentent à eux seuls plusieurs centaines de milliers de tonnes par an. Or, beaucoup de ces biens pourraient être réemployés au lieu d’être détruits.
Un gaspillage qui pèse lourd sur les budgets
Gaspiller, c’est payer deux fois : une première fois pour acheter, une seconde pour jeter ou remplacer. Selon l’Ademe, dans les entreprises comme dans les collectivités, ce sont des milliers d’euros de pertes qui s’envolent chaque année dans des achats redondants, des stocks dormants ou une gestion des déchets inefficace.
À l’échelle d’une organisation, une meilleure circulation des ressources permet de réaliser des économies directes, mais aussi d’optimiser les surfaces de stockage, de réduire les frais logistiques et de fluidifier les process. En bref, la lutte contre le gaspillage est une véritable opportunité économique.
Une responsabilité sociale et éthique
Enfin, il serait illusoire de parler de gaspillage sans évoquer la dimension humaine du problème. Jeter du matériel utilisable, c’est faire l’impasse sur des solutions solidaires : réaffectation, dons, mutualisation… Autant d’options qui, si elles étaient systématisées, pourraient réduire les inégalités d’accès aux ressources, notamment dans les services publics ou les structures en tension budgétaire comme la restauration collective.
Dans le cas du gaspillage alimentaire, le décalage est encore plus flagrant. D’un côté, des pertes massives avec des tonnes de nourriture jetée chaque jour, notamment des légumes encore consommables. De l’autre, une précarité alimentaire en forte hausse. Lutter contre le gaspillage alimentaire, c’est donc choisir de mieux répartir, de mieux partager.
Cadre législatif : quelles obligations pour les entreprises ?
Loi AGEC
Adoptée en 2020, la loi Anti-Gaspillage pour une Économie Circulaire (AGEC) impose aux entreprises et aux collectivités de repenser leur gestion et distribution des ressources. Cette actualité réglementaire fixe des objectifs clairs : réduire les déchets, allonger la durée de vie des produits et favoriser le réemploi.
En ce sens, elle interdit notamment la destruction de produits non alimentaires invendus (meubles, textiles, équipements électroniques…) et encourage leur réaffectation, don ou recyclage. La loi s’attaque aussi au gaspillage alimentaire dans la restauration collective, avec toute une liste de mesures. De manière générale, les structures publiques sont invitées à s’équiper de solutions favorisant le réemploi en interne, une dynamique directement soutenue par des plateformes comme MyTroc Pro.
Normes et labels
De nombreuses normes environnementales, notamment les normes ISO, visent à soutenir les efforts anti-gaspillage. Comment ? En apportant un référentiel technique qui définit avec précision des critères, exigences ou recommandations en matière de performance environnementale. Cette source fiable offre ainsi aux entreprises un cadre clair sur lequel s’appuyer pour leur transformation écologique.
Par ailleurs, certaines normes environnementales peuvent mener à une certification ou à l’obtention d’un label national. Ces dernières sont plus fiables que les labels RSE, car elles sont réglementées par la loi. Autrement dit, pour être certifiée, une entreprise doit être auditée par un organisme externe.
Quelles astuces pour lutter contre le gaspillage ?
Gaspillage de ressources (papier, eau, énergie, matières premières)
Voici une liste de conseils pratiques à suivre :
- Dématérialisation : L’Ademe encourage l’usage du numérique. Factures, notes de service, dossiers RH… Tout ce qui peut être dématérialisé réduit l’empreinte carbone.
- Impression responsable : Par défaut en recto-verso, en noir et blanc, et uniquement si nécessaire.
- Réduction de l’empreinte carbone numérique : La transition numérique présente de nombreux avantages, mais n’est pas sans consommation d’énergie. Découvrez comment réduire votre empreinte numérique !
Gaspillage alimentaire (cantines, événements)
Voici une liste de bonnes pratiques à adopter :
- Adapter les quantités : La programmation des repas permet d’anticiper les besoins réels et d’éviter les pertes inutiles. Apprenez également à maîtriser les dates de péremption pour une meilleure gestion des stocks.
- Achats responsables : Privilégiez les légumes ou fruits locaux et de saison ainsi que le vrac pour limiter les emballages.
- Valorisation des invendus : Don aux associations ou vente à prix réduit, mieux vaut redistribuer que jeter.
- Compostage : Mettre en place une filière pour les biodéchets (ex : fanes de radis), notamment en restauration collective.
- Sensibilisation : Affiches, ateliers, chiffres clés… Informer, c’est déjà agir.
Gaspillage des matériaux et fournitures
Voici une liste d’astuces à adopter :
- Achats durables : Optez pour des produits réparables, rechargeables ou issus du recyclage. Travaillez avec des fournisseurs engagés dans les différents domaines de la consommation responsable.
- Stockage raisonné : Un bon suivi des stocks permet d’anticiper les besoins réels.
- Réemploi interne : Créez un espace physique ou digital où toutes les parties prenantes peuvent proposer ou récupérer des fournitures inutilisées. Une plateforme comme MyTroc Pro facilite cette mise en réseau et transforme les surplus en opportunités.
Zoom sur MyTroc Pro : la solution qui transforme les déchets en ressources
Une plateforme de réemploi en marque blanche
MyTroc Pro permet aux entreprises, collectivités et institutions publiques de créer leur propre plateforme de réemploi en interne. Chaque organisation peut ainsi y référencer ses ressources non utilisées sous forme d’annonces, facilitant leur mise à disposition entre services. Et si certaines ressources ne trouvent pas preneur en interne, MyTroc Pro propose également des boucles de redistribution vers d’autres entreprises. Rien ne se perd, tout se transforme.
L’interface est alors entièrement personnalisable. Identité visuelle, fonctionnalités spécifiques… Tout est pensé pour s’adapter à chaque organisation, peu importe son secteur d’activité. En effet, MyTroc Pro accompagne toutes les entreprises, de l’industrie à la santé, en passant par le BTP, l’enseignement supérieur, l’énergie, le transport, et bien d’autres encore.
Un accompagnement de A à Z
L’équipe MyTroc Pro ne se contente pas de fournir un outil. Elle accompagne chaque client à chaque étape. Audit des besoins, définition des objectifs, déploiement technique, animation de la communauté interne (via des événements, challenges, gamification)… Tout est fait pour garantir l’adoption et la pérennité de la démarche.
Ce savoir-faire s’appuie sur une expérience solide. MyTroc est la première entreprise française à avoir lancé une plateforme publique de troc (MyTroc.fr), avec plus de 255 000 inscrits, 120 000 échanges réalisés et 1,6 million d’euros d’économies générées par les utilisateurs. Cette expertise a permis de développer une solution professionnelle robuste, complète et déjà plébiscitée.
Une solution reconnue et adoptée par de grands acteurs
De nombreux grands comptes font aujourd’hui confiance à MyTroc Pro.
SNCF – La Boutique Éco
Cette plateforme interne de réemploi a permis de réemployer plus de 7 000 ressources pour 700 000 € d’économies réalisées, avec 30 000 utilisateurs inscrits.
« C’est un réel plaisir de contribuer à faire réaliser des économies à l’entreprise tout en l’inscrivant dans une démarche RSE concrète. Le site est en plus extrêmement simple d’utilisation ! » – Loïc P., de la filiale SNCF Immobilier
Cambiomut – Préfecture de Bourgogne-Franche-Comté
Cette plateforme, développée pour les services du préfet de Bourgogne Franche-Comté, recense les ressources et compétences disponibles dans la région pour permettre leur mutualisation.
Cambiomut est un système de prêt fonctionnant avec sa propre monnaie virtuelle qui permet une meilleure circulation des ressources et des compétences entre des services qui jusqu’ici ne collaboraient que rarement.
Arts et Métiers – Troc aux Arts
Les campus des Arts et Métiers disposent d’une plateforme pour donner ou prêter des biens (notamment du matériel de laboratoire) et des services. Troc aux Arts regroupe déjà de nombreux personnels sur les différents campus à travers la France. Tous les échanges se font en monnaie virtuelle.
« MyTroc nous a permis de trouver des alternatives à l’achat en utilisant les ressources et expertises disponibles dans nos campus. Nous sommes très satisfaits. Cette démarche participe à la préservation de l’environnement et valorise les valeurs d’Arts et Métiers. » – Coralie G, Cheffe de projet Troc Aux Arts
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