MyTroc fête ses 10 ans : la preuve qu’une autre économie est possible

Clients, partenaires et collaborateurs décrivent MyTroc Pro en trois mots : impact, écoute et bienveillance.
En 2015, Floriane Addad fonde MyTroc, animée par une conviction simple : la tech peut servir le vivant. Autodidacte, sans réseau ni fonds, elle choisit une voie à contre-courant de la startup nation : une technologie sobre, utile et humaine dans un secteur dominé par les géants du numérique.
Elle a construit pas à pas, avec son équipe, l’une des références françaises du réemploi digital en France, et créé une alternative concrète à la surconsommation et au gaspillage.
Une réussite rare dans un secteur où seulement un tiers des entreprises dépassent 10 ans, où moins de 12 % des startups sont dirigées par des femmes, et où seulement 2 % des fonds sont levés par des fondatrices. (Sources : INSEE / Bpifrance, baromètre BCG x SISTA, Vernimmen)
De 2 000 euros à 10 ans d’impact mesurable
En dix ans, MyTroc a su transformer cette vision en résultats concrets :
- 1,2 millions d’objets et gros matériel sauvés
 - 71 000 tonnes de CO₂ évitées
 - 55 millions d’euros économisés
 - 550 000 utilisateurs des solutions MyTroc
 - Plus de 20 grands groupes et acteurs publics pionniers dans le réemploi : EDF, SNCF, Equans, SUEZ, Enedis, RATP, Veolia, SNCF, Groupe ADP, CH, ENSAM, Montpellier, Dijon Métropole…
 
Derrière ces chiffres, une équipe engagée de 9 personnes et une technologie innovante, développée en France, qui accompagne aujourd’hui la transformation circulaire des plus grands groupes publics et privés.
Du rêve d’une entrepreneure à une référence du réemploi digital
Floriane et ses associés ont commencé par lancer mytroc.fr, la plateforme grand public.
Très vite, pour continuer à faire vivre le projet, ils lancent mytroc.pro pour les grands groupes et organisations.
Ses plateformes permettent aux particuliers, acteurs publics et grands groupes de prolonger la vie des équipements, de réduire leur empreinte carbone, le gaspillage, tout en faisant des économies.
“Ces dix années n’ont pas toujours été faciles. J’ai connu les doutes, les refus, les nuits blanches, les obstacles liés au fait d’être une femme dans la tech. Mais nous avons tenu, parce que nous savions pourquoi nous nous battions : prouver qu’on pouvait faire de la tech autrement, au service du vivant” explique Floriane Addad, fondatrice et CEO de MyTroc.
Fidèle à sa philosophie, MyTroc fonctionne différemment jusque dans sa gouvernance.
Agréée ESUS et devenue entreprise à mission, elle cultive un modèle démocratique, où chaque membre participe aux décisions.
L’équipe, installée dans une ancienne maison du 12ᵉ arrondissement, incarne au quotidien cet équilibre entre performance et bienveillance, sous les yeux de Lumière, le chat de la maison.
À contre-courant des codes de la startup nation, MyTroc est la preuve vivante que l’économie à impact peut être rentable, durable et féminine.
ReSHOP : la nouvelle étape
Déjà adoptée par plusieurs grands comptes, ReSHOP marquera dès 2026 une nouvelle étape pour maximiser l’impact environnemental du réemploi à encore plus grande échelle.
ReSHOP permet de relier acteurs publics et privés autour d’une même logique d’économie circulaire, en facilitant le réemploi, la revente et la mutualisation de matériel entre grands groupes, TPE-PME et associations. “
Avec ReSHOP, MyTroc veut faire du réemploi professionnel une norme, et non une exception” dit Camille Galliot, responsable grands comptes MyTroc Pro.
				
					
